dimanche 16 février 2014

La semaine de la littérature enfantine

Puisqu'il n'y a plus que ça qui intéresse les gens (et que j'ai besoin d'augmenter mes vues comme toute le monde), petite sélection de livres pour enfants de tous les ages et de toutes les obédiences politiques.

Lundi 10 Février 2014

"Jean-François raconte des bobards", l'histoire d'un petit garçon qui ment comme un arracheur de dent pour qu'on le remarque, parce qu'il a peur d'avoir moins de copains qu'une blonde de sa classe.

Mardi

"Barrack a une amoureuse", l'histoire d'une cour d'école primaire remplie de journalistes qui répètent tout ce qu'on leur raconte ; et d'une cour de maternelle remplie de gens qui les écoutent quand même.

Mercredi

"François veut des calins", où un Président de la République traverse un océan pour serrer dans ses bras des Français qui ont encore un travail.

Jeudi

"Marianne et Jean-Marc ont peur", l'histoire d'un Premier Ministre qui change la signalétique Vigipirate, en remplaçant les niveaux de couleur - entre vert ("ça va") et écarlate ("ça va pas du tout") - par un triangle rouge ("aaaaaaaaah") et un triangle rouge "alerte attentat" ("on va tous mouriiiiiir".)

Vendredi

Les parents de Lili et Max se disputent. Faut avouer que depuis que le père de Lili et Max est au chômage, la vie familiale est devenue compliquée, et leur mère se réfugie dans l'alcool.

Bonne St Valentin !

Culture

"Maître Gims est jaloux", l'histoire d'un rappeur commercial qui ne comprends pas pourquoi tout le monde préfère Stromae.

Sport

"Brian n'aime pas perdre", dédicacé à tous les sportifs Français de Sotchi.

Et c'est uniquement parce que : "Renaud est en haut" n'était pas encore sorti.

Indiscrétions

C'est officiel, "Max ne pense qu'au zizi", sera le programme national de l'UMP pour les prochaines municipales.

De son côté, le Président, désormais officiellement social-démocrate, envisage de recycler le manifeste Strauss-Kahnien "Max embête les filles".

Meteo

"Quimperlé fait du camping", l'histoire de Bretons qui aimeraient bien pouvoir retourner habiter un jour dans leur maison, sans avoir peur des vagues.


PS : je précise, je n'ai pas d'actions chez "CALLIGRAM" ni chez "decitre.fr", et je n'ai pas lu tous les bouquins. J'étais un petit garçon normal, moi, pas un dépravé perverti par la théorie du djendewwur - quand j'avais cinq minutes, je tapais dans la collection de "San Antonio" de mon père, comme tout le monde.

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